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Jean Reno : après 40 ans de carrière, l’acteur annonce devoir arrêter « on m’a détecté un…

JEAN RENO RÉVÈLE SON DIABÈTE

Du Grand Bleu aux Visiteurs, en passant par Léon, Jean Reno a laissé une empreinte indélébile sur le cinéma français. Sa filmographie riche et variée témoigne de son talent et de sa polyvalence et surtout d’une longévité presque sans égale. Par ailleurs, le natif de Casablanca fait partie des rares acteurs français à avoir réussi à percer outre-atlantique, où il a travaillé avec certaines des plus grandes stars hollywoodiennes. Cependant, même le succès international ne protège pas des ennuis de santé, une délicate expérience traversée par Jean Reno depuis 2017. L’acteur s’était en effet épanché dans L’Express pour révéler qu’il souffrait d’un diabète de type 2. Une annonce qui avait mis en émoi les admirateurs de la star de Léon.

https://x.com/24sante_fr/status/869959171965190144

LE CHOC DU DIAGNOSTIC VÉCU PAR JEAN RENO

Jean Reno a ainsi expliqué : « Je suis atteint d’un diabète de type 2, qui se détecte souvent autour de la cinquantaine. Mon père et ma tante en souffraient. Je l’ai donc reçu en héritage ». Avant de poursuivre « J’avais, comme disent les médecins, des prédispositions, mais on pense toujours passer à travers tout. Vous connaissez la nature humaine : ‘Les gens meurent, mais pas moi’ ». Il a également abordé le choc reçu au moment de l’annonce du diagnostic : « J’espérais échapper à la maladie. En ce sens, lorsqu’elle m’est tombée dessus, je ne m’y attendais pas. Il y a parfois un choc psychologique qui déclenche tout. En ce qui me concerne, ce fut mon second divorce ». Avant de conclure  : « Vous croyez vivre normalement, puis une nuit vous vous levez plusieurs fois pour aller uriner, vous avez tout le temps soif, vous ressentez une grosse fatigue, une éventuelle baisse de l’acuité visuelle. Et voilà ».

DÉPISTAGE PRÉCOCE ET MESURES PRISES
Jean Reno a eu la chance d’être diagnostiqué rapidement grâce à des examens médicaux approfondis avant chaque tournage. Confronté à ce qu’il qualifie lui-même de « maladie sournoise », il a dû s’adapter pour qu’elle n’impacte pas trop sa vie. Il a ainsi expliqué : « Un an et demi après le déclen­che­ment, je me suis mis, en plus, à me faire des injec­tions d’in­su­line pour régu­ler ma glycé­mie ». Un traitement qui lui permet de vivre presque normalement.
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